Perçant les voiles de l'aurore,
Le jour apparait dans les cieux,
Ainsi, Coeur sacré que j'adore,
De tes rayons d'amour,
Tu viens frapper mes yeux.
(Refrain)
Séraphins, à ce Roi suprême,
Séraphins, à ce Roi suprême,
Souffrez que j'offre vos ardeurs,
Pour aimer Jésus comme Il aime,
Faibles mortels, c'est trop peu de nos coeurs,
Faibles mortels, c'est trop peu de nos coeurs.
Toujours dans cet auguste asile
Jésus fixera son séjour;
Venez, vous, son peuple docile,
Venez offrir vos coeurs au Coeur du Dieu d'amour.
Ce Coeur puissant et magnanime
Du ciel irrité contre nous
Voulut, se faisant la victime,
Nous dérober aux traits de son divin courroux.