Je vous salue, glorieuse Sainte Anne,
Mère auguste de la Mère de Dieu,
objet des plus chères complaisances de la très-Sainte Trinité
et la plus honorée de toutes les femmes.
Vous avez été bénie par le Seigneur,
et la très-Sainte vierge Marie,
le fruit de vos entrailles,
est aussi bénie,
ainsi que Jésus-Christ,
le fruit sacré de son sein virginal.
O grande Sainte Anne,
Mère de la Mère de miséricorde,
priez pour nous pauvres pécheurs,
maintenant et à l’heure de notre mort.
Ainsi soit-il.